Après s'être déshabiller, Savia se laissa glissée doucement dans l'eau chaude des bains du château d'émeraude. Tout son corp lui était douloureux, bien que la douleur était loin de lui être insupportable, comme elle eut été il y a une semaine. Jamais dans sa vie de guerrière n'avait-elle ressentit tant de souffrance physique, bien que nul autre dans le château sut jusqu'à quel point elle souffrait, ne croyant qu'elle était seulement malade et, par le fait même, trop faible pour bouger. *Une telle épreuve se vit seule...* pensa-t-elle. Grace a l'eau, elle sentit ses muscle se détendre finalement. Son plaisir fut tel que ses yeux faillit se retourner complètement dans leur orifice. Il fut tel que l'emprise que la chevalière avait sur son Nodashi se desserra, mais pas assez pour que celui-ci s'échappe de sa main. Tel que le cerveau de Savia n'enregistra pas vraiment le message globalement lancée par Cheshire, La Magicienne de Cristal, bien qu'il lui permit de se ressaisir. Elle se demanda sur se qu'elle avait entendu, bien qu'elle en avait oubliez la majorité du contenu, ne retenant que *Enkidiev...Immortelle...Cheshire...Magicienne...Cristal...prophétie...accomplisse.*
Elle mit l'information pour le future, pour alors s'enfoncer dans les eaux pour profiter de la chaleur sur autant de sa surface corporelle que possible. Elle n'était pas en état pour pense longuement, même si c'était son fort.
Irritée après un long moment, elle décida qu'elle ne pouvait plus se permettre un instant de plus d'inaction. Alors elle sortit du bain et mit une tunique blanche dans les vestiaires, pour ensuite se diriger vers sa chambre. Elle y trouva son habit habituel d'entraînement et le mit, se pansant les seins pour les empêcher de trop rebondir durant l'entraînement et ainsi la nuire, bien qu'ils était aussi ferme que le reste de son corps. C'était la tradition qu'elle avait développer depuis son plus jeune age, et elle ne pouvait pas tout bonnement se montrer dans la cour, torse nu, sein en l'air. Cela ne se faisait pas, bien qu'elle aurait aimer le contraire. Un corps nu est le meilleur pour combattre. Le corps parfait, un balance parfait entre la robustesse et la puissance du corps d'homme et la souplesse et la dextérité de celui de la femme, ça n'existait pas, mais Savia s'en savait proche. Un petit sourire au lèvres, elle quitta sa chambre, son Nodashi et son arc long dans ses mains, et son katana accrocher a la ceinture. Elle se dirigea alors vers l'aire d'entraînement.
