Pheare est donc sur la route en direction d’Émeraude quand soudain elle aperçoit deux hommes à cheval galopant dans sa direction armés tout deux d’un arc et d’une flèche prête à être décochée. Les deux chasseurs ne s’arrêtèrent que quand ils vient la jeune errante à l’apparence effrayante, l’homme en tête fus désarçonné par le cabrage de son animal et tomba sur le dos non loin de la jeune Pheare, celle ci ne cessa pas sa progression et s’approchait de plus en plus du chasseur qui ne pouvait rien faire d’autre à part trembler, l’avancée de Pheare fus stoppée lorsque son compagnon de route lui tira une flèche en pleine poitrine. La jeune femme vit le projectile arriver, mais elle décida de ne rien faire, ni esquiver, ni attraper elle voulait savoir ce que ça pouvait faire que d’être toucher par autre chose que de la magie, celle ci sentie une intense douleur au niveau de son estomac, ses jambe se mirent à faiblir la laissant s’écrouler à genoux. Le tireur descendit de sa monture pour prêter main forte à son ami à terre, quand ce fut chose faite celui ci se releva et accoura dans la direction de la responsable de sa chute, une fois à sa porté il la bouscula violemment se qui la fit tomber sur le dos, l’homme énervé ajouta :
-Non mais qu’est ce que vous êtes, et qu’est ce que vous nous voulez, vous vous êtes regardé, comment pouvez vous oser vous montrez !Pheare le regarda droit dans les yeux et lui répondit :
-Parce qu’il me faut un droit de passage peut être, misérable larve je ne comptait rien te faire, ni à toi, ni à ton cher ami, mais là tu me force la main !La jeune femme arracha la flèche qui l’avait terrassé de manière très rapide et la planta dans la bouche de son interlocuteur, celui ci fut tué sur le coup. Pheare se releva et dit à l’homme restant :
-Merci, je voulait voir ce que ça ferait que de se faire planter, et tu m’a fait découvrir, seulement j’aurais put en mourir si tu n’avais pas une force de fillette, vois se que c’est une vrai flèche !Le jeune homme n’eu pas le temps d’armer une autre flèche, que Pheare avait déjà saisie l’arc de son ami de le bander et de lui décocher un projectile fulgurant en pleine tête. La jeune femme fouilla les deux corps et y trouva quelques vivres qui pourrais lui être utile pour la longue route qui lui reste à faire.
Après quelques minutes de marche Pheare décida de regarder sa blessure, elle ôta son haut afin d’examiner la plait et fut très surprise de voir que son sang ne coulait pas comme celui de ses victimes, et qu’il n’était pas aussi rouge. La jeune femme constata qu’elle a le sang noire et plutôt épais, donc avec une grande capacité coagulante. Pheare se dit qu’elle découvrira certainement d’autre choses qui la différencie des autres à cause de tout se qu’elle à put subir dans son enfance, et que ça lui donnait un avantage certain sur tout les individus qu’elle pourra côtoyer, et qu’il sera plutôt difficile de la tuer. Néanmoins elle connaît sa grande faiblesse qui est de ne pouvoir faire aucune magie, ce n’est pas l’intelligence qui lui manque, mais c’est sa nature plutôt étrange qui veut ça.
Pheare se rhabilla et continua sa marche, et tout en avançant elle se dit :
-*Ce Veldrin ne va pas savoir ce qui va lui arriver, je le plaint presque, et de plus il sont plusieurs en tant que chevalier, tout le plaisir sera pour moi, je me souvient encore de ce misérable qui m’en appris un peu plus sur eux.*Ce fut sept mois auparavant que Pheare rencontrait l’homme qu’elle vient de dire, celle ci marchait tranquillement en bord de chemin quand elle croisa un homme vêtu de vêtements joliment orné, et portant une épée. La jeune femme se dit que cette personne pourrait probablement la renseigner dans son enquête, c’est alors qu’elle se plaça juste en face de lui le stoppant dans on élan. L’homme surpris lui rétorqua :
-Otez vous de mon chemin monstre, et j’épargnerais votre vie !Pheare répondit d’une voix calme :
-Je n’irais nul part avant d’avoir eu les renseignements que j’attend.Le voyageur fut ni une ni deux et dégaina sa longue épée à deux mains, avant de pointer l’estoc de celle si vers sa gorge, puis il dit :
-Je ne renseigne pas les êtres tel que vous, je vais faire en sorte que votre trépas soit le moins douloureux possible !L’homme leva sa lame comme pour la décapiter, et d’un geste bien maîtrisé l’épée se dirigea à tout allure vers le cou de la jeune fille. Pheare se baissa pas pour esquiver mais pour ramasser une grosse pierre se trouvant à ses pieds, puis se releva la lame n’était qu’à une vingtaines de centimètres de sa cible qu’elle interposa le morceau de granit entre l’arriver de l’épée et son cou. La longue arme fut stoppée d’un coup net par ce bouclier improvisé, mais le combattant refusant de se laisser surprendre continua son attaque. Pheare s’ennuya rapidement et lui jeta la pierre en plein visage, suite à tel choc l’homme laissa tomber son arme avant de la suivre dans sa chute. C’est victorieuse que la jeune femme posa son pied sur la poitrine du vaincu avant de lui dire :
-Les êtres tel que moi ? Tu ne connais rien de moi mâle ! Maintenant j’ai une question et tu vas y répondre, sinon quoi tu découvrira se que c’est que la vrai souffrance ! Qu’as tu à me dire sur les chevaliers d’Émeraude ?L’homme ne se laissa pas gagner par la peur et lui rétorqua :
-Vous pouvez me torturer si ça vous amuse, mais je n’ais rien à vous dire !!Pheare ne voulait pas perdre son temps avec ce genre d’individu récalcitrant, alors elle commença à perdre le contrôle d’elle même risquant de devenir la meurtrière violente qui sommeillait en elle. La jeune femme inspira et dit :
-Je veux savoir si ils peuvent me guérir, je ne veux plus être méchante …L’homme se laissa convaincre par le fourberie de celle ci, car celui ci était très croyant et estimait que tout le monde pouvait se racheter alors il lui dit tout ce qu’il savait, et il en savait beaucoup au grand bonheur de la jeune femme :
-Les chevaliers d’Émeraude sont des êtres bons et pure ils pourront vous aider j’en suis plus que convaincu, et ça serait une grande joie pour eux. Seulement si vous voulez les attaquer en traître ils le sauront car ils peuvent sonder les personnes et savoir leur véritables intentions, se sont des combattants aguerrie et ils sont au nombre de sept, il n’y a pas que des hommes dans ce groupe très uni, vous n’aurez qu’à demander de l’aide aux portes du château et ils vous accueilleront à bras ouvert …-Très bien je sais ce que je voulait savoir, c’est à dire l’accessibilité !L’homme se rendit compte de sa naïveté mais c’était trop tard, Pheare attrapa son épée et l’empala froidement :
-AAAAAAAAAAHH s’écria l’homme dans son agonie. C’est avec ce joli « AAAAAAAAAAHH » en tête que Pheare activa le pas en direction d’Émeraude.
(OUT : A Émeraude si personne ne me barre la route avant ! 
)
